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Plantes d'herbes
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Bien-être au naturel 

Nos produits bien-être : 

nouveau

« Le médecin prend soin des malades ; la nature prend soin des bien-portants. »

Masanobu Fukuoka - La révolution d'un seul brin de paille

Une paysanne engagée

- qui produit sans plastique, sans intrants, sans machine, sans produits chimiques

- qui valorise les plantes locales et spontanées

- qui participe à la préservation de la biodiversité

Une herboriste passionnée

- certifiée Paysanne Herboriste, Conseillère prévention Bien être (CFPPA Agricampus Var)

- qui maîtrise le processus d'extraction et la qualité: de la graine au produit fini

- qui s'engage localement pour la santé humaine et la santé environnementale

à partir de plantes cultivées en conscience en Périgord

Des produits naturels de qualité fabriqués artisanalement

pour que notre bien-être participe aussi à celui de la planète

selon les principes d'une Agriculture vertueuse et de l'Agroécologie

« Je peux, tu peux, nous pouvons transformer en bien le monde, à tout moment, partout.  La beauté sera notre source. L’attention, notre geste.  Notre énergie, l’amour, notre récompense, la joie. »

Petite histoire de la phytothérapie

Pierre Lieuthagi 

Pratique millénaire basée sur un savoir empirique enrichi au fil des générations,

la phytothérapie est la thérapie par les plantes: du mot grec phyton, « plante » et therapeia, « traitement », est une modalité de soins utilisant les plantes et les extraits.

 

Le papyrus égyptien Ebers, que l’on fait remonter à 1500 av. J.-C., fait l’inventaire de plusieurs centaines de plantes et est le premier recueil connu consacré aux plantes médicinales.

 

Au fil du temps, les médecins de l’Antiquité constituent une pharmacopée (un recueil de remèdes) relativement développée.

L'ouvrage, De materia medica (« Sur la matière médicale »), recensant environ 600 plantes, et rédigé par le médecin grec Dioscoride, au Ier siècle après J.-C., exerce une influence considérable sur la médecine occidentale.

 

Cet ouvrage demeure l’une des principales références en Europe jusqu’à la fin du XVIIe siècle et est traduit en plusieurs langues. En 512, une version comportant les dessins des plantes citées en fait  le premier herbier illustré.

 

Au XVe siècle, l’invention de l’imprimerie transforme l’herboristerie européenne puisque jusque là, les pratiques médicinales étaient transmises oralement.

Avec l'imprimerie, les herbiers imprimés se multiplient et l’on voit apparaître des répertoires qui rendent l’usage des plantes plus accessible.

 

Les grandes découvertes, le commerce permettent ’introduction croissante de plantes médicinales d’origines lointaines à partir du XVIe siècle.

Ce développement conduit à un clivage entre les ruraux qui utilisent majoritairement les plantes locales et les  bourgeois qui achètent des plantes d’origine exotique prescrites par des médecins formés à l’université.

 

Au XVIIIe siècle, chez les apothicaires,  environ 70 % des plantes médicinales disponibles sont importées. Cette herboristerie urbaine va, peu à peu, évoluer vers la médecine moderne.

 

Au XIXe siècle, les progrès en physique et en chimie permettent l’extraction et la mise en évidence des principes actifs de certains végétaux. On parvient ainsi à identifier de nombreuses molécules: la morphine du pavot, la colchicine du colchique etc.

En 1838, l’acide salicylique, précurseur chimique de l’aspirine (acide acétylsalicylique), est extrait du saule blanc. Il est synthétisé en laboratoire pour la première fois en 1860. Cette date marque une rupture: la phytothérapie et les médicaments de synthèse suivent des voies différentes.

 

Toutefois, si les progrès de la chimie permettent de produire de plus en plus facilement, par synthèse, les principes actifs isolés des plantes, ces dernières n’ont pas disparu pour autant de l’univers de la pharmacopée.

Aujourd'hui on distingue la phytothérapie est à la fois une pratique ancestrale proprement dite qui continue à utiliser la plante entière ou ses extraits mais également une ressource importante pour la recherche pharmacologique.

 

On estime que plus de 500 000 espèces végétales poussent à la surface du globe, dont environ 250 000 sont actuellement répertoriées.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a établi une liste de plus de 22 000 plantes médicinales utilisées par les médecines traditionnelles. 

À peine 2 000 à 3 000 d’entre elles ont fait l’objet d’études scientifiques, chimiques ou pharmacologiques.

Sources et référence: 

Guide des plantes qui soignent, Vidal, 2010

Choisir la forme galénique...

La « forme » d'un médicament ne désigne pas uniquement son aspect physique mais l'ensemble des paramètres qui lui sont donnés lors de sa fabrication.

Le terme « forme » est une abréviation de l’expression « forme galénique », faisant référence à la pharmacie galénique, science qui définit la façon de fabriquer un médicament. Elle est nommée en hommage au médecin grec Galien.

En choisissant la bonne forme galénique, il s'agit de choisir le bon extrait de plante c'est à dire la forme adaptée:

infusion, alcoolature (extrait hydroalcoolique), macérât glycériné de bourgeons (gemmothérapie), pilule, macérât huileux....

Découvrir nos produits Bien-être

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